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Le fan-club du Prisonnier
(créé en 1991)

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N°41
(septembre 2002)

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Hommages

TLM aime Le Prisonnier : TLM, c’est Télé Lyon Métropole, télévision locale comme son nom l’indique, et qui a eu la riche idée de parodier le générique de la série pour annoncer la diffusion estivale d’archives de la chaîne : Seul hic : pas de Super Seven sous la main, et pas le temps de lancer un appel au club –qui avait d’ailleurs été l’invité de l’émission La Vie d’en face en avril 1995, mais personne ne s’en souvenait en 2002 !– ou aux éventuels passionnés de la région. Malgré tout, le journaliste Laurent Natale est resté fidèle au club des Lotus en pilotant une superbe Elise à l’allure très racée.

Autre hommage rendu à la série par le N°2 « marteau & enclume » de la télé française, j’ai nommé la souriante Laurence Boccolini, caporal en chef du Maillon faible : le 8/06/02, elle a de nouveau réussi à coller un candidat grâce au Prisonnier (cf. déjà le 8/08/01, rÔdeur n°38), en lui vociférant : dans quelle série y a-t-il un ballon appelé le rôdeur ? Vous pouvez envoyer vos listes de questions vaches à TF1

Plus inattendu, le clin d’œil rendu à la série dans le dernier film de James Mangold, sorti en avril 2002 et intitulé Kate et Léopold (source www.allocine.fr et www.kate-et-leopold.com) : à la faveur d’une faille temporelle mais non spatiale, Kate, une femme d’affaires new-yorkaise dynamique du XXIe siècle, rencontre Léopold, troisième duc d’Albany, vivant à New-York à la fin du XIXe siècle, du moins avant son étrange saut dans le futur. Or, lorsque le dit Leopold ouvre les yeux sur le XXIe siècle, il se retrouve dans un appartement face à une télé qui diffuse… Le Prisonnier, plus exactement une scène de « L’arrivée », avec alerte orange et prisonnier rattrappé sur la plage par le rôdeur (photos ci-contre) ; la scène a d’ailleurs bénéficié pour cette occasion d’un nouveau et très mauvais doublage en VF : why ?

Et pourquoi Le Prisonnier ? Est-ce simplement une lubie du réalisateur qui aimerait la série ? Ou a-t-il pensé que les images de « L’arrivée » pouvaient être une métaphore de la situation étrange de Léopold ? Il semble que ce soit la bonne interprétation car dans la scène suivante qui le confronte au propriétaire de l’appartement, également responsable de la faille temporelle, Léopold lance éperdument : Qu’est-ce que je fais là ? Où suis-je ? Et comme il refuse de croire qu’il est à New-York, l’autre lève un store vénitien sur une fenêtre à carreaux, dans un geste similaire à celui du Prisonnier qui découvre le Village au lieu de Londres : la stupéfaction aussi est la même.

Le clin d’œil semble malheureusement s’arrêter là puisque la suite du film suit le schéma bien rôdé d’une comédie romantique entre deux êtres que tout aurait dû séparer. Snif, comme c’est beau !

En bref

Si votre rêve, c’est de conduire une Lotus Super Seven (la voiture du N°6) sans avoir les moyens de vous en payer une, l’Espace International Automobile – Circuit Automobile est fait pour vous ! Situé à Pont l’Evêque, il propose à tous la meilleure formule pour savoir piloter… ou l’itinéraire d’un conducteur gâté : vous pouvez donc vous éclater à bord d’une Lotus 7 (une Caterham en fait), ou d’une Elise, d’un Spider Renault Sport ou plus simplement d’un kart ou d’un quad. Pour la Lotus, il faut compter tout de même 80 euros par demi-heure. Contact : 02 31 64 39 01 ou www.eia.fr.

La fureur des sonneries de portables envahit toujours nos magazines, et dans un Consoles + récent, une société propose un choix très large de sonneries inspirées des séries TV et de dessins animés, parmi lesquelles Le Prisonnier bien sûr, mais aussi Albator, Chapi Chapo et La petite maison dans la prairie. Eh, tu m’appelles ?

Enfin, juste pour parce qu’on l’aime bien et qu’il écrit toujours intelligemment sur la télé, signalons 2 articles très intéressants de Martin Winckler parus sur Internet (forum de discussion et Monde Diplomatique) : l’un où il présente la série Oz, une série américaine hors du commun ; l’article est intitulé Ce monde-prison où nous vivons, tout un programme… L’autre article réagit à la soi-disante influence de la violence cinématographique sur les adolescents, suite à l’assassinat au couteau d’une jeune fille par un camarade amateur de Scream : Winckler a l’art de remettre les pendules à l’heure avec une vigueur réjouissante.

Taillage de costards

Les Pierres qui roulent fêtent leur 40 ans de carrière en 2002 (n’en déplaise à notre jeune public, qui se souviendra des L5 en 2041 ?). Dans un ouvrage de Gered Mankowitz paru le 19 septembre (www.vobooks.com) intitulé sobrement Rolling Stones 65-67, on trouve cette photo du batteur Charlie Watts.

Dans le même esprit, mais quelques années plus tard (1982-84), le célèbre Docteur Qui (oui, les noms des héros anglo-saxons sont désormais systématiquement traduis pour faire plaisir à notre rédac’ chef !) arborait quant à lui une veste tout aussi tendance, portée par l’acteur Peter Davidson.

Naissance
(par Patrick DUCHER)

Coïncidence. Lors du festival des séries de Mâcon qui s’est tenu en juillet / août derniers (cf. pages suivantes), certains membres du rÔdeur s’étaient fait la réflexion que la presse spécialisée consacrée aux séries télévisées était bien pauvre en France, au contraire du Royaume-Uni et bien évidemment des Etats-Unis. Si l’on excepte Génération Séries, revue pionnière récemment revenue en kiosque, il n’existe en fait AUCUNE revue s’adressant aux vrais fans de séries, et non à la tranche d’âge 15-18 ans genre Spirit et autres. Et voilà donc que naît Episode, que nous a dévoilé en exclusivité lors du festival son rédacteur en chef qui n’est autre qu’Alain Carrazé.

Le 1er numéro est annoncé dans les kiosques pour fin septembre, avec notamment des dossiers sur Alias, 24 et The Osbournes. Un numéro «zéro» nous a permis de nous faire une idée du projet auquel s’est attaqué l’ancien animateur de Destination Séries. Selon lui, Episode fait le pari de parler de la fiction télé, des séries et des feuilletons intelligemment sans être élitiste, passionnément sans être fanatique et avec suffisamment de recul et une érudition sans faille. Sur près de 80 pages donc, les amateurs de bonnes séries trouveront présentations, dossiers, analyses, informations etc… Signalons que la ligne éditoriale traite volontairement de séries de qualité «modernes», dont l’immense majorité est diffusée sur le câble et le satellite. Un petit encart est réservé aux séries anciennes (2 pages sur Cosmos : 1999), mais encore une fois, ce n’est pas la vocation d’Episode. Cerise sur le gâteau : le magazine est livré à partir du 1er numéro avec un DVD en complément (et non en supplément), c’est-à-dire que le lecteur commencera par le magazine papier et terminera sa lecture en zappant sur son lecteur pour découvrir reportages et news. Un support original et innovant donc. Ayant tâté de la télé avec brio sur Canal Jimmy, ayant été le premier à publier un livre d’art sur une série culte (Le Prisonnier), ayant été le premier à superviser la sortie d’une série en DVD (Le Prisonnier, on se répète), Alain n’est jamais aussi enthousiaste que quand il a de nouveaux medias sur lesquels travailler. L’équipe rédactionelle comprend des plumes de qualité avec Martin Winckler, Loïc Le Roux, Jérôme Wybon, Erwan le Vexier, Thomas Barichella, Le Front de Libération Télévisuelle…

Souhaitons donc à Episode de trouver son lectorat chaque mois. Il le mérite.

Episode N°1 - En kiosque à partir du 30 septembre. 6 euros (DVD inclus).

Seven au paradis

Réglementation européenne oblige, la commercialisation des Caterhams et autres répliques de la Lotus Super Seven (la voiture du N°6, suivez un peu !) sera abandonnée à la fin de l’année.

Ou plus exactement l’importation de ce type de véhicule en Europe, la production continuant en Grande-Bretagne. Les raisons sont encore obscures : certification ISO9002 impossible sur de si petites séries (10 exemplaires par an en France), règles de sécurité de plus en plus sévères...

Il ne reste donc plus que deux solutions pour se payer la voiture du Prisonnier : le marché de l’occasion ou le déménagement outre-Manche !

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Dernière mise à jour le 2 octobre 2002.